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L'émotion avant le goût

Une cuisine claire, sans confusion

Une cuisine claire, sans confusionAnthony ne cherche pas à impressionner.
Il cherche à transmettre.
Sa cuisine est comme lui : épurée, tendue, impactante.
Tout est fait maison.
Chaque assiette équilibre croustillant, fondant, moelleux.
Il refuse la “fusion” au sens marketing, mais sait glisser un geste d’Asie ou d’Amérique si cela sert le plat.
Il respecte les temps, les sauces, les silences.
Ce qu’il sert est lisible, franc, direct.

Un chef ancré, mais en mouvement.

Il explore, avec sa femme, les cuisines du monde, mais revient toujours à l’essentiel : le goût, pas le spectacle.
 
Son restaurant, son double

Bois brut, métal, lumière rasante, chaleur du végétal.
Minimalisme nordique, chaleur du sud.
Un lieu qui lui ressemble : discipline + vibration.

Chez Anthony, on ne vient pas pour manger.
On vient pour ressentir.
Et si on revient, ce n’est pas que pour la carte...

Un des plats de anthony Keravec
A table chez Krak
Forgé par Chicago, affiné en France

Anthony a préféré le feu des cuisines au confort du bureau.

 

Sa première école ? dès 14 ans il fait de grande maison pour apprendre les règles de l'art du métier dans des étoilés. L'exigence et la rigueur ont été le socle d sa formation

 

Puis il s’envole pour 12 ans aux États-Unis.Là-bas, il dirige, il fusionne, il découvre ce qu’est vraiment la “cuisine américaine” – celle du feu, du gras assumé, de l’audace.Mais il reste français. Il reste précis.Chez Pluton à Chicago (4 étoiles), il affine sa vision : pas de fioriture. Pas de folklore. Juste du goût.

 

Aujourd’hui de retour en france, il est déterminé à imposer sa vision de la gastronomie. De par son expérience il n’a qu’un but faire de son restaurant la référence de Lyon.

 

Pour lui, une bonne cuisine, ce n’est pas du spectacle. C’est de la précision. Pas de triche. Pas de raccourcis. Une cuisson parfaite, un produit respecté, une assiette lisible.

Une ligne claire, sans superflu

Anthony aime la vitesse et le silence. Il roule, il navigue, il cuisine. C’est dans ces gestes qu’il se ressource. Ce qu’il cherche dans l’assiette, c’est ce qu’il vit dans sa vie : de la tension, du contraste, de la liberté.

KRAK, c’est son langage. Direct, sans filtre, sans détour. Une cuisine qui dit ce qu’elle pense, et qui le fait sentir. C’est l’idée que le goût doit provoquer. Interpeller. Claquer. C’est aussi une équipe qui porte ces valeurs.

La cuisine, pour Anthony Keravec, ce n’est pas une mise en scène. C’est une nécessité. Formé par des maîtres exigeants, il porte en lui l’héritage d’une cuisine sincère, construite sur la rigueur, le geste juste, et le respect du produit. Là où certains de sa génération privilégient l’image celle qu’on poste, qu’on partage, qu’on encadre Anthony reste fidèle à l’essentiel : l’assiette. C’est elle qui parle. C’est elle qui frappe. C’est là que tout doit se jouer.

Cuisiner, c’est offrir a ceux que l’on aime le
meilleur de sois-meme.

Anthony Keravec alias Krak
La voiture de anthony Keravec
Le bateau de Anthony Keravec
Cuisine à haute vitesse

Chez lui, la cuisine ne se limite pas à l’assiette : c’est une quête viscérale, un besoin d’adrénaline et de profondeur.

Amoureux des sensations fortes, il retrouve dans la vitesse d’une voiture de sport ou le silence d’une mer ouverte les mêmes émotions que dans la précision d’un assaisonnement ou la maîtrise d’une cuisson lente. Ce sont des instants de pure intensité, où chaque geste compte, où tout se joue à l’instinct.

Loin du bruit, il cherche l’évasion. Naviguer seul ou filer sur une route vide lui offre cette solitude choisie, propice à la réflexion, à la création. Ces moments suspendus nourrissent sa vision de la gastronomie : une cuisine puissante, émotionnelle, profondément libre. Pour lui, cuisiner, c’est ressentir. Vibrer.

La solitude est le nid des pensees

La maison de anthony Keravec
L'école des grandes maisons

Très vite, il comprend que la cuisine ne pardonne pas.
À l’Auberge Gourmande, il apprend que chaque geste compte.
Au Manoir de la Comète, il découvre la beauté du dépassement : longues journées, pression d’un étoilé, quête de justesse.

Chez Orsi à Lyon, il dompte l’intensité d’une brigade en flux tendu, où rigueur et tradition s’écrivent en lettres capitales.

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